mercredi 29 avril 2009

FNAC : Un SAV qui a une commission


Je vais commencer par une petite histoire :
J'ai été l'heureux possesseur d'un Nabaztag:tag jusqu'à ce qu'il ne fonctionne plus, donc là, normal, je le donne au Service Après Vente de la Fnac de Reims étant donné qu'il n'avait que quelques mois et était encore largement sous garanti.
Pour l'instant, tout va bien, mis à part quelques problème avec l'intermédiaire Banque Magnétique.
1 mois plus tard, à la place de me donner un nouveau Nabaztag:tag, la décision est prise de me rendre l'argent (en bon d'achat, bien sûr).
Et là, c'est le drame : on m'annonce que je vais avoir une vétusté ! (ndlr : en fonction de l'ancienneté, on retient un pourcentage sur le prix)
En envoyant un produit sous garanti au Service Après Vente je dois payer 2% supplémentaires pour atteindre le prix que j'avais payé (pour quelques mois, imaginez avec un produit de haute gamme au bout d'un an !), et donc avoir un nouveau Nabaztag:tag !
Ce qui est bien sûr en désacore avec le
Décret 1999/44-CE : voir.

Je vais contacter le directeur de la Fnac de Reims, et si neccesaire, contacter des associations de consomateurs et voire même, car je ne penses pas être le seul à subir cette "commission du SAV", un recours en Justice.

À bon entendeur.

dimanche 15 mars 2009

TF1 : Ressort d'anciennes images

Mercredi, TF1 parlait de la récente tuerie en Allemagne au journal de 13h. Le journaliste présentait le tueur sous le nom de Seastian B, alors qu'il s'appelle en réalité Tim Kretschmer, tout en montrant des photos d'anciens tueurs allemands.

Rappelons que ce genre de bavure n'est pas si rare que ça, rapellez vous du char d'assaut qui changeait de camp au grès des chaines.

vendredi 27 février 2009

Loi HADOPI : la Quadrature du Net en appelle au black-out du net

Black-outHADOPI - Le Net en France : black-out


Afin de marquer une opposition « visuelle » au projet Création et Internet, la Quadrature vient de lancer appel aux citoyens qui le veulent à procéder un « black-out de leurs sites, blogs, profils, avatars, etc. ».

Car « pour protester contre cette loi imbécile et sa liste blanche » de sites autorisés, le Net français doit agir et se draper de noir. L’initiative est calquée sur l’exemple de la Nouvelle-Zélande qui a finalement repoussée ses projets « grâce à une mobilisation massive, durant laquelle le web néo-zélandais a procédé à son « black-out » volontaire » souligne la Quadrature qui veut marquer « un signal fort qui illustre la bêtise et la dangerosité de cette loi. La "riposte graduée" fera condamner des innocents, sans preuve valable et sans procès. Elle ne fera pas gagner un centime de plus aux artistes et ne changera rien aux problèmes stratégiques et structurels à l'origine de la crise que traversent les industries qui la demandent. »

Ainsi, la Quadrature presse tous ses soutiens, individus et collectifs, et plus globalement ceux qui sont opposés au texte à s’armer d’un pinceau trempé dans un liquide noir ébène.
  • Peindre leurs sites, blogs, profils, courriers, commentaires ou avatars de noir du « black-out », au besoin en utilisant les images mises à leur disposition (vous pouvez utiliser l'image en début d'article et pour MSN Plus, cet script, en italien, mais très compréhensible, peut être utilisé : ici)
  • Afficher un message expliquant les motivations de cette protestation contre une loi absurde, inapplicable et dangereuse qui met en péril le web français, et les libertés fondamentales.
  • Faire un lien vers le « tableau de bord HADOPI » de La Quadrature du Net.
  • Contacter son député pour lui annoncer que l'on a procédé au « black-out » de son espace sur le Net pour protester contre la loi « Création et Internet », lui transmettre le dossier de La Quadrature6 et lui demander ce qu'il en pense.
  • Inviter ses proches et ses contacts à faire de même.
« Cet appel est un hommage rendu aux citoyens néo-zélandais qui ont pu faire entendre la raison à leur gouvernement. Il s'agit d'un remix, d'une réappropriation d'une idée qui, comme la culture, n'existe que pour être partagée. Ce sont ceux qui traitent leurs clients de " pirates " et les députés qui votent leurs lois qu'il faudrait déconnecter !»